UN MAGAZINE CHIC,CHOC ET CHARME

Un magazine jamais vendu en kiosque,uniquement lu sur le net pour et par les écrivains et tous les artistes aimant l'art du bien vivre et qui veulent lire en musique.
Chic,choc et charme



mercredi 30 juin 2010

COUP DE COEUR...LA LEGENDE DE BAGGER VANCE



Une belle aventure humaine
Enfant prodige de Savannah, champion de golf précoce, petit ami de la ravissante et richissime Adele Invergordon, Rannulph Junuh est envoyé au front, où l'horreur du premier conflit mondial le frappe de plein fouet. Après plusieurs années de silence, cet héros de guerre désenchanté revient à Savannah dans le plus parfait anonymat, hanté par le souvenir atroce de ce qu'il a vécu. Fantôme parmi les vivants, il se retire du monde dans un vieux manoir délabré.
La Grande Dépression de 1929 a fait fondre toutes les fortunes, le père d'Adele s'est suicidé pour échapper au déshonneur de la ruine et le parcours de golf qu'il avait fait construire semble voué à la faillite. La jeune femme décide alors de faire sortir Junuh de sa retraite et de l'opposer aux deux plus grands golfeurs de l'époque, Bobby Jones et Walter Hagen, lors d'un tournoi dont les bénéfices permettront au terrain de ne pas disparaître.
Mais Junuh ne veut pas en entendre parler. Il est certain d'avoir perdu le secret du "swing authentique" qui avait fait sa réputation de champion. Un homme surgi de nulle part se présente alors à lui. C'est un mystérieux et providentiel caddy noir, Bagger Vance, dont les conseils semblent avoir des répercussions sur sa vie.

dimanche 20 juin 2010

RACHEL CABOT ............MAGIE EN NOIR



Rachel Cabot une femme qui a "des tripes" et du talent. Rachel aime la chanson.française et se pose en digne héritière des grands noms et des grandes dames...quel talent!!à écouter sans modération.
En savoir plus sur elle cliquer sur Rachel
Nous sommes sous le charme!!!

LE THEATRE FAIT IL DE LA POLITIQUE OU BIEN EST CE L'INVERSE??




LE DIABLE ROUGE
Nos gouvernants trouveraient ils l’inspiration dans les pièces de théâtre ???

Au sommet de son pouvoir mais à la fin de sa vie, le cardinal Mazarin achève l'éducation du jeune roi Louis XIV, sous le regard de la reine-mère Anne d'Autriche et d'un Colbert qui attend son heure. Tous ces personnages, leurs calculs et leurs rivalités ne sont pas sans rappeler les jeux du pouvoir et ces liens étroits entre affaires publiques et vie privée dont nous sommes témoins aujourd'hui sur la scène politique. Tant il est vrai que les régimes changent mais que les motivations des hommes restent les mêmes...

D'Antoine Rault
Mise en scène de Christophe Lidon
Avec Claude Rich, Geneviève Casile, Denis Berner, Adrien Melin, Alexandra Ansidei, Bernard Malaka

Cette pièce n’est plus à l’affiche à Paris.. surveillez la programmation de province

Dialogues interessants !!!

Colbert : Pour trouver de l'argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J'aimerais que Monsieur le surintendant m'explique comment on s'y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu'au cou…
Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l'Etat… L'Etat, lui, c'est différent. On ne peut pas jeter l'Etat en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les Etats font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l'argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d'autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c'est impossible.
Colbert : Alors, les riches ?
Mazarin : Les riches non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.
Colbert : Alors, comment fait-on ?
Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage ! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d'être riches et redoutant d'être pauvres ! C'est ceux-là que nous allons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser… C'est un réservoir inépuisable. »

samedi 19 juin 2010

CONFESSION D'UN TIMIDE




Avec un nom pareil on serait timide à moins !!mais la timidité n’est pas l’apanage d’une catégorie…l’auteur a du faire ses annuités de timidité et ainsi faire valoir ses droits à pension.
Ausculter la timidité masculine dans son état amoureux tel fut l’objectif de Philippe Vilain qui nous raccompagne à la frontière de la pudeur,celle de la honte…cette « crainte d’être »
Bio ou pas bio le portrait ???l’introspection est trop précise pour qu’on réponde par la négative,cette timidité qu’il veut faire exploser comme les attelles de Forrest Gump et qui l’empêche d’aller plus loin ….c’est touchant.
Une timidité qui serait le miel de toute l’existence interpelle et me dit que ce n’est pas un vilain défaut
Curieusement cet essai comble un vide celui de ‘l’approche intellectuelle de la timidité, il nous plonge au cœur de l’âme masculine sans tomber dans l’intimisme de ses précédents ouvrages
Tout remonte à l'enfance, en Normandie (ce pays de "taiseux"), et à ce jour où son père, suite à un pari stupide, grimpe sur une table et se déshabille. Pourtant, outre cette scène initiale, il ne résume pas l'origine de son mal à une honte des origines ("le chômage et le surendettement de mes parents, l'alcoolisme de mon père, la précarité dans laquelle ma jeunesse s'est déroulée") - même si, plus tard, Vilain cherchera à séduire essentiellement des femmes belles et d'une "catégorie sociale supérieure".
Peut être a-t-il voulu effacer cette image socialement dégradée pour mieux s’émanciper et chasser ses complexes de fils de pauvre


J’y ai trouvé la grille de lecture de ma personnalité lorsque plus jeune je n’osais pas aller au devant des gens importants et surtout devant les femmes. Ce rapport à la gent féminine assez complexe ….tout en réserve comme pour mieux emmagasiner de la séduction.
J’ai bien aimé son échelle de Richter de la timidité en convoquant la pensée de Platon et de Spinoza
Finalement il a l’air de s’être rattrapé depuis ..c’est mon ressenti ……et j’avoue me retrouver en lui …je fus timide mais je me susi soigné !!!!
En clair la timidité n’est elle pas une infirmité touchante et séduisante ?? douce compagne merveilleuse
Un livre qu’il faut oser lire sans se laisser intimider par le titre
Résumé
Dans ce livre, à la fois essai et analyse de sa propre psychologie, Philippe Vilain se penche sur les ressorts de la timidité dans ses rapports à la pudeur, à la crainte et à la honte, et les différentes manifestations de celle-ci.
Editeur :
Grasset
Date de parution :
7 avril 2010
N° ISBN :
978-2-246-74101-5

lundi 14 juin 2010

PROGRAMME DE NUIT MAGCHIC

UN MARIAGE FOLLEMENT GAI


Dans le centre ville de Marseille, Le Théâtre des 3 ACT. se situe au 48 rue Barbaroux dans le 1er arrondissement près des Réformés.
Avec sa salle de 50 places confortables, ce bijou offre les meilleures conditions d'accueil pour un public chaleureux et près de la scène

Situé en plein cœur de Marseille, en haut de la Canebière, le Théâtre des 3 ACT accueille avec générosité et convivialité le spectateur d'ici et d'ailleurs. Sa vocation est d'assurer une proximité avec la population et ses pratiques culturelles tout en accueillant des spectacles accessibles au plus grand nombre.

A vos larmes citoyens!!!
Mais ce n'est pas la Marseillaise non mais ce ne sont pas des larmes de peine!!!!!non plus!!!! mais de rire que vous verserez à Marseille du 24 au 26 juin 2010 au Théâtre les 3 Acts dans le 1er arrondissement.
48 rue Brabaroux
Métro Les Réformés Canebière
http://www.theatre-les3act.com/les-3-act/
Un Mariage follement gai !
De Thierry Dgim

Avec en alternance Sylvia Delattre et Alix Bénézech, Geneviève Gil et Cathy Chabot ,Thierry Dgim


Marcy et Sébastien sont deux colocataires originaux . Sébastien, fan de Madonna et de Chantal Goya est très attaché à son copain. Marcy, lesbienne coincée ( encore vierge à 38 ans) est très attachée à sa bouteille de gin !
L'arrivée d'Anne-lize, une croqueuse d'hommes qui n'a pas froid aux yeux va perturber leur vie déjà loin d'être tranquille.

1 homme, 2 Femmes : aucune possibilité! Quoique...
Y a du mariage dans l'air mais un Mariage follement gai
Gageons qu'Alix au Pays de Marseille va faire rugir les foules comme le Vélodrome!!!

Une comédie déjantée

dimanche 13 juin 2010

PROGRAMME DE NUIT MAGCHIC

EDWARD HOPPER


Une expo en chasse une autre...je suis Hopper à la trace et pour l'avoir vu à New York et à Londres on ne s'en lasse pas.



Edward Hopper (1882-1967) est considéré comme l’un des plus grands peintres modernes du XXème siècle.
Pour la première fois en Italie du 16/02/2010- 13/06/2010, Milan et Rome ont rendu hommage à toute la carrière d’Edward Hopper (1882-1967), le plus populaire et célèbre artiste américain du XXème siècle, en lui consacrant une exposition anthologique.
L’exposition vient de fermer ses portes à Rome mais les Suisses de Lausanne vont pouvoir (pourquoi pas vous) visiter cette œuvre majeure à la Fondation de l’Hermitage.
L’exposition commence le 25 juin pour se terminer le 17 octobre 2010
Pour avoir pu voir l’exposition à Londres, en 2004, à la Modern Tate, je ne peux que vous conseiller de vous déplacer !
Le génie opère chez Hopper car il a une capacité phénoménale de présenter des scènes de vie quotidienne.
Il a l’art et la manière qui aborder ainsi des soucis universels.
. Ses études contemplatives de la vie moderne, capturées dans les intérieurs rigides des distributeurs automatiques, des chambres de motel, des wagons-restaurants et des théâtres de film ont une qualité intemporelle, dépassant l'heure et l'endroit pour devenir des rapports profonds au sujet de l'état humain.


Ses peintures sont inondées avec les faisceaux pénétrants du soleil ou ombres et lumière exposent les figures d'isolement dans les pièces d’habitation peu meublées, portraits d' « aloneness », de gens seuls absorbés dans eux-mêmes et détachés de leur monde.
Ce qui me frappe c’est cette tension psychologique intensifiée par l’isolement de ses personnages, véritable trait d’une Amérique nostalgique.
J’adore également ses streetscapes (paysages de rues) iconiques de New York, y compris les Night Hawks et le distributeur automatique
Peintre de la classe moyenne, et des petites villes et des scènes en apparence banales, il affectionne les lieux tranquilles, donnant quelques indications d’activité humaine passée ou future. Familiers et calmes comme la vie quotidienne, ces tableaux sont aussi étrangement silencieux, et revêtent un caractère de mystère indéfinissable. Parfois vides et solitaires, ils sont à d’autres moments habités par des figures immobiles, mélancoliques, comme figées dans l’attente de leur destin. La précision glacée de la peinture, les mises en scènes très construites des compositions, baignées d’une lumière contrastée, produisent un fort sentiment d’étrangeté
C'est cette qualité qui a su inspirer des générations des artistes, les auteurs et les réalisateurs de film comprenant le peintre David Hockney, Alfred Hitchcock, le cinéaste, ou Norman Mailer, l’écrivain.

Il a définitivement apporté la preuve du caractère fédérateur de la peinture, art véritablement transversal
Henri-Albert Delorme Le MaGChic Juin 2010

jeudi 10 juin 2010

QUAND LE MAL EST FAIT


. LA RETRAITE..UN NAN..CHANTEMENT???QUAND LE MAL EST FAIT...

Quand le mal est fait de Nan Aurousseau

Marcel Tous avait la gueule toute de travers. On aurait dit un vieux morceau de bois flotté délavé par le ciel. Le miroir de l'ascenseur reflétait sa nuque, une nuque plate aux cheveux incolores et raides comme du fer à béton. Marcel Tous se souciait peu de son apparence en cet instant. Paumé dans ce bâtiment immense depuis maintenant plus d'un quart d'heure il cherchait le bureau 44. Il faut dire qu'il avait bu et cela n'arrangeait rien. Qu'avait-il bu et en quelle quantité, il était incapable de le dire. De la bière certainement, et des alcools forts, peut-être mélangés à du vin blanc. Le bâtiment dans lequel il errait, une sorte de tour sans fin en forme de vis, ne comprenait que des bureaux à l'intérieur desquels des gens en costume sombre s'activaient à de sinistres affaires.
Bureaux d'enquêtes, accidents, dossiers bourrés de témoignages contradictoires et parfois mensongers, primes, contentieux, franchises, malus, bonus, tout cela s'envolait jusque dans les nuages.
C'est dans une trajectoire azimutée que Marcel Tous était parvenu au comptoir d'accueil du hall d'entrée.
– J'suis complètement bourré hein...
– Prenez l'ascenseur monsieur Tous, lui avait conseillé l'hôtesse en gardant ses papiers d'identité.
Marcel Tous avait rouspété. Il connaissait ses droits : personne ne pouvait garder ses papiers. En voyant les vigiles s'approcher avec un air inquisiteur il n'avait pas insisté parce qu'il n'aimait pas faire de vagues. Il récupérerait ses papiers en sortant et voilà tout. À l'abri dans un consignon en plastique scellé par l'hôtesse, son identité officielle pouvait bien attendre une vingtaine de minutes qu'il repasse par là.
Pas facile de trouver l'ascenseur dans ce hall sans plafond
Pas facile en effet d’être un paria dans notre société que dépeint si bien Nan Aurousseau,l’écrivain taiseux,discret,si pudique au passé passé si simple mais avec un présent promis à un bel avenir.
A un moment où l’on parle de la retraite et du seuil fatidique des 60 ans, Marcel Tous, 63 ans, cadre respecté dans la filière du bois, n'a pris sa retraite qu'il y a une semaine, et déjà les ennuis commencent : sa moitié, Brigitte, une jolie femme dépensière de vingt ans sa cadette, n'est pas près de se mettre en frais pour cocooner son Marcel - pas question qu'elle lui prépare à déjeuner ni qu'ils aillent s'installer dans leur maison de campagne isolée.
Il n’est pas bon de se retirer trop vite !!!
Voilà un ouvrage à verser aux débats

Résumé quatrième de couverture:
Marcel Tous a rendez-vous au bureau 44, dans la tour d’une société d’assurances multirisque. Il doit y récupérer des clés. Il a le cerveau embrumé par l’alcool, et des idées noires. Tout va mal depuis qu’il a pris sa retraite, surtout avec sa femme qui ne le supporte plus.
À la recherche du fameux bureau, Marcel Tous se retrouve rapidement dans les sous-sols de l’immeuble. Est-ce l’alcool qui lui donne soudain des hallucinations ? Pourquoi un homme aux gants de loup, en blouse grise, pousset-il un chariot sur lequel repose un corps recouvert d’un drap ? Pourquoi les couloirs se transforment-ils en un dédale sans fin ? Pourquoi deux vieux gardiens l’attendent-ils avec malveillance ? De quoi veulent-ils le punir ? Quel mal a-t-il fait ? Pourquoi lui fait-on endurer le martyre ? Quand et comment ce cauchemar s’arrêtera-t-il ? Pour Marcel Tous la descente en enfer a commencé, elle n’aura d’issue que lors de la résolution de cette énigme aux mille questions dont aucune ne demeure sans réponse.

L’auteur,âgé de 59 ans a cotisé à la caisse des emmerdes ..prendra t’il sa retraite …de ses activités multiples ..oui mais pas d’écrivain…..oh Nan !!!!!!!! il faut dire qu’il s’y est « mitard « !!
A 18 ans, il est condamné à 7 ans de prison pour braquage. Lors de sa réinsertion, il se lance dans la plomberie, puis décide de raconter sa vie dans un livre, suite à sa rencontre avec l'écrivain Jean-Patrick Manchette. Bleu de chauffe est publié en 2005 et rencontre un réel succès. Il reçoit notamment un prix au Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras. Son deuxième roman paru en 2007 et intitulé Du même auteur est un roman policier

C’est un Nan ..chantement ce livre ..à lire.
Merci à l’écrivaine Valérie Tong Cuong qui a insisté pour que je le lise….
Henri Delorme .Juin 2010

Code EAN / ISBN : 9782234061835
Code HACHETTE : 5461835
Prix TTC : 18,00 €
Date de parution : 03/2010
Dimensions : 215 x 135 mm
Nombre de pages : 240

I'VE BEEN LOVING YOU



Interprétation exceptionnelle du célèbre morceau d'Otis Redding

lundi 7 juin 2010

PROGRAMME DE NUIT MAGCHIC..FRENCH SOUL




Ben l'Oncle soul avec ses faux airs d'étudiant attardé fait le bonheur des nuits d'Ile de France en revisitant l'âme noir de Stewie Wonder au grands classiques de la soul music!!
Article de Aurelie Frex pour Europe 1:
Cette semaine, les Rolling Stones sortent 10 inédits, et Ben l’Oncle soul revisite la Motown.

Ben l’Oncle Soul, de Ben l’Oncle Soul (Motown)

A 25 ans, Ben a l’air tout droit sorti des sixties. Ce Français originaire de Tours arbore un tatouage à l’effigie de son légendaire label, la Motown. Son premier album éponyme est un hommage à toutes ses influences, de Marvin Gaye à Otis Redding, en passant par Stevie Wonder, John Legend et Ray Charles. L’album n’est composé que de titres inédits, qui parlent d’histoires d’amour, qu’il s’agisse des problèmes de cœur de sa sœur, ou d’un homme alcoolique qui perd sa femme et son enfant. Un opus en anglais et en français, qui permet à ce fan de Serge Gainsbourg et de Nino Ferrer de réconcilier ses deux cultures musicales.

samedi 5 juin 2010

LA TETE EN FRICHE....LE COEUR EN VRILLE!


Heureux les simples d'esprit ...beau sujet philosophique...les benêts ont une âme et souvent une âme pure comme celle que Gérard Depardieu a marié ce samedi avec son corps lourd et pataud..
Quand la culture rencontre l'inculture qu'est ce que ça donne???il faut le demander à Jean Becker qui m'a fait regretter d'avoir oublié mes kleenex à la maison.
Fort d'une tradition populaire jugée populiste par une frange d'intellos,le cineaste nous a servi un caviar avec des dialogues truculents de Dabadie et une musique envoûtante de Laurent Voulzy.
Germain, 45 ans, quasi analphabète, vit sa petite vie tranquille entre ses potes de bistrot, sa copine Annette, le parc où il va compter les pigeons et le jardin potager qu’il a planté derrière sa caravane, elle-même installée au fond du jardin de sa mère, avec laquelle les rapports sont très conflictuels. Il n’a pas connu son père, sa mère s’est retrouvée enceinte de lui sans l’avoir voulu, et le lui a bien fait sentir depuis qu’il est petit, à l’école primaire son instituteur l’a vite pris en grippe, il n’a jamais été cultivé, il est resté " en friche ".

Un jour, au parc, il fait la connaissance de Margueritte, une très vieille dame, ancienne chercheuse en agronomie, qui a voyagé dans le monde entier et qui a passé sa vie à lire. Elle vit seule, à présent, en maison de retraite. Et elle aussi, elle compte les pigeons.

Entre Germain et Margueritte va naître une vraie tendresse, une histoire d’amour " petit-filial ", et un véritable échange...

Germain est le souffre douleur du bistrot où les compères de boisson ne sont pas tendres.
Comment être gentil avec un "con" qui croit que Guy de Maupassant c'est un guide comme le Guide Michelin??
Un géant colossal qui découvre la litterature avec une Gisèle Casadessus touchante,qui se fait lire la Peste de Camus,en comptant les pigeons sur un banc public.
Tache parfois bien difficile de faire aimer la lecture dans un film ..de ce point de vue c'est réussi.
C'est vrai que Becker a gardé les clés du camion et que Depardieu n'avait pas les manettes comme dans Mamuth mais le résultat donne une histoire qui commence avec de l'argent mais qui finit avec des sentiments.
Ne cherchez pas les vraisemblances laissez vous transporter comme notre héros avec le car qui sillonne les routes du Poitou.
"En friche" notre héros mal aimé a su défricher notre sensibilité et surtout donné un coup de chaud aux relations intergénérationnelles qui s'étiolent de plus en plus.
La transmission du savoir( mon métier) le pouvoir des mots (ma passion) je les ai retrouvés dans une salle obscure d'un samedi estival.
Film de Jean Becker avec Gérard Depardieu, Gisèle Casadesus, François-Xavier Demaison, Patrick Bouchitey
Pays:France
Genre;Drame
Durée:82 min
Sortie en salles:02 juin 2010

jeudi 3 juin 2010

CHARLELIE COUTURE ....LE VIN!!!!



CharlElie crée sa première cuvée : un vin Graves d'exception unique limité à seulement 1956 bouteilles numérotées, année de naissance de CharlElie.
Ses premiers pas dans les vignes sont accompagnés par le chef Pierre Négrevergne (La Terrasse Mirabeau - Paris 16è).

La bouteille est une création originale de l'artiste....... et il n'y en aura pas pour tout le monde...
Et MagChic est heureux de vous faire le message adressé par son ami Charlélie!
Clic!!!!!sur le vin de Charlélie

DORCHIESCULTURE



Oui MagChic aime les gens qui n'ont pas l'air comme ça mais qui gagnent à être connus ,tel est le cas de Sebastien Dorchies,ce jeune homme de 41 ans
L'éclectisme est son fil conducteur et la Dorchiesculture n'est pas l'élevage d'une espèce rare mais la promotion d'une espèce à montrer.
La notoriété est souvent précédée par le talent,musicien,peintre,artiste,il ne doit pas se limiter à ses disciplines qu'il partage avec bonheur avec ses élèves de l'Ecole des Beaux Arts de Clermont Ferrand
(une exposition aura lieu du 28 mai au 2 juin 2010,au Cendre...commune de la banlieue clermontoise)
Le vernissage a eu lieu le 28 mai 2010 à 18h00 .
Born to be wild!!telle pourrait être sa devise et sa ligne de conduite peut s'élargir à l'amour des tacots......bref le mec cool comme MagChic qui est aux anges.
L'art est éternel,l'art est intemporel!! Sebastien you are everywhere!
Un espace pour en savoir plus cliquer sur le lien Dorchies

mercredi 2 juin 2010

CLERMONT FERRAND RUGBYTOWN OF THE WORLD


Early in the morning my great pleasure is reading of the New York Times n°1 in New York and i enjoy to see a big comment published: May 30, 2010
Rugby
At Long Last, Clermont Wins the Championship
By HUW RICHARDS




CloseLinkedinDiggFacebookMixxMySpaceYahoo! BuzzPermalink After 74 years and 11 finals, a quest with no parallel in top-class sports reached its conclusion as Clermont Auvergne at last won the French national rugby union championship, beating the reigning champion, Perpignan, by a score of 19-6 at the Stade de France.

Other clubs, notably baseball’s Chicago Cubs, have had a longer wait in years. Not one, though, has been tantalized by the proximity of success as much as Clermont, whose 10 defeats in finals included each of the last three seasons.

The mood among Clermont’s players, coaches and massed yellow-clad fans on a wet Saturday night in Paris mixed ecstasy with disbelief as its captain, Aurélien Rougerie, lifted the Bouclier de Brennus, the symbol of supremacy in French club rugby.

Coach Vern Cotter, usually gruffly undemonstrative even by New Zealand standards, was in unashamed tears. He said, “It is a great feeling, the culmination of four years of work and of everybody’s dreams.”

The Australian outside-half Brock James, a veteran of the three previous defeats, said, “I don’t know if there are words for this.”

Considered in isolation, the victory was clear-cut. Clermont was clearly the better team. Perpignan dominated in the scrums, but nowhere else. It never seemed like it would score a try. The coach of Perpignan, Jacques Brunel, conceded that “nothing worked.”

“We were never in a position to worry Clermont,” he said. “We made too many errors. The better team won, and deserved to.”

But to win, Clermont had to beat not only Perpignan, but its own suffocating weight of bad memories and the accompanying fear that the reward for yet another nine-month, 28-match marathon would be another gut-wrenching disappointment.

Even Clermont’s early try — the only time either side crossed the line — was potentially an ill omen. It was scored by the Fijian winger Napolioni Nalaga, a reminder that he had also scored early last year, before Perpignan hit back to win, 22-13.

That hint of déjà vu became acute when the Perpignan fullback Jérôme Porical, recently called up to the French national squad, kicked two penalty goals before half an hour had been played.

Nobody did more to swing the 2009 match than Porical, who landed all five of his kicks at goal.

This time, though, he was wide with a simple shot just before halftime, when Clermont led, 13-6, and he went on to miss two more penalties he would normally land early in the second half.

Any doubts that this was, at long last, Clermont’s day, ended with a few minutes left. The referee, Christophe Berdos, failed to spot Nalaga stumbling into touch while catching a Perpignan clearance kick. Nalaga passed to full-back Anthony Floch, who blasted over a drop goal from nearly 50 meters, or 165 feet.

If a sense of triumph was particularly strong for veterans of past defeat like Rougerie, playing his fifth final, much was owed to a man unmarked by those losses. Scrum-half Morgan Parra moved from Bourgoin last summer. At the age of 21, Parra has greatness before him for both club and country. His astute tactical kicking kept Clermont going forward and Perpignan off balance, while in contrast to Porical he landed his goals, three penalties and a conversion, nervelessly.

While Perpignan was losing its title, there were still two triumphs for reigning champions on a day that, unprecedentedly, had four major rugby finals worldwide.

Northern Transvaal’s Blue Bulls won the Super 14 championship — contested by regional franchises from South Africa, New Zealand and Australia — for the third time in four seasons. Outside-half Morne Steyn scored 20 points as the Bulls won the all-South African clash with Western Province Stormers, 25-17, in Soweto, leading all the way in spite of being outscored by two tries to one.

Leicester, by contrast, had to come from behind three times to claim its third Guinness English Premiership title in four years — extending its record to nine in all — at Twickenham. Center Dan Hipkiss’s try with four minutes left spelled the end for the spirited challenge of Saracens, first-time finalists.

Yet the performance of the day could arguably be claimed by Ospreys, the Welsh franchise based in Swansea, in scoring two tries to none to win the first Magner’s Celtic League final by beating the Irish province Leinster, 17-12. Clermont, the Bulls and Leicester won on neutral ground. The Ospreys had to go to Leinster’s ground in Dublin to clinch the title of the best team in Ireland, Scotland and Wales, previously decided on the basis of regular-season standings.

Next up for Clermont, Leicester and Ospreys will be the draw on June 8 for the pool stage of the 2010-11 Heineken European Cup, rugby’s equivalent of soccer’s Champions League. Each cherishes serious ambitions to add European honors to domestic ones, and all will hope for an easier draw than last season — when they were matched together in a single four-team pool.